Régence Nouvelle lune du Dimanche 21 Juin 2020 13 IEZALEL
Rétrogradation de Mercure du Jeudi 18 Juin au samedi 11 juillet 2020 où il sera sous la régence de 14 MEBAHEL
Grosse bagarre pour le pouvoir avec une concentration importante de planète Jupiter, Pluton, Saturne qui active la régence de 54 NITHAEL ange tutélaire du Pape François (calcul tropical serait probablement 48 MIHAEL en calcul galactique) promoteur de la religion mondiale de l’antéchrist, les langues perfides passent à l’attaque et en voici un exemple !
Voici le lien de la vidéo qui explique la trahison du Pape François :
VIGANO Un Prélat Conciliaire Découvre l’Église Éclipsée et l’Imposture Maçonnique Bergoglienne
Pleine Lune en Sagittaire (“lune de sang” dans l’ombre de la terre) sous la régence de 52 IMAMIAH . Le Soleil en Gémeaux avec 16 HAKAMIAH
Précisions inspirés par cette vidéo et qui la complète car le Président Macron a dit dans une interview “La Bête arrive !” et en effet c’est mon cheval de bataille qui je vous le rappelle m’a fait expulsé à la rue en 2009 par ses représentants présents au gouvernement français.
Donc je vous propose le texte d’un expert : cet adorable HAZIEL, mon Maitre Spirituel Vénéré a qui j’ai dédié ce site et qui sans ses textes n’aurai jamais pu exister !
Voici l’extrait du livre l’ “Interprétation Kabbalistique de l’Apocalypse” où il est question de la prise de pouvoir de la Bête, du chiffre 666 et de la marque de la Bête qui a une curieuse ressemblance avec la puce RFID ! Bonne lecture !
Chapitre 13
- Ce qui arrive lors de la passation de pouvoir du dragon à la bête de la mer
- Emerveillement lors de la guérison effectuée par la Bête.
- L’égalité n’a pas été respectée lors de la création des esprits vierges
- Qui tue par l’épée, périra par l’épée.
- La Bête de la Terre
« Puis je vis monter de la mer une bête qui avait 10 cornes et 7 têtes, et sur ses cornes 10 diadèmes, et sur ces têtes des noms de blasphème.
La bête que je vis était semblable à un léopard ; ses pieds étaient comme ceux d’un ours, et sa gueule comme une gueule de lion.
Le dragon lui donna sa puissance, son trône, et une grande autorité. »
Apocalypse 13, 1-2
Dans le chapitre précédent nous avons laissé le dragon, sur la plage. Ici nous comprenons pourquoi il était allé jusqu’à ce lieu, après avoir persécuté en vain la Femme Ethérique, qui s’est envolé, avec les ailes de l’aigle, vers le désert.
Il se trouvait là pour rencontrer la bête qui, précisément, sortait de la mer. Bête, d’ailleurs, semblable à lui dans tous les détails de son anatomie, et à qui il voulait transférer ses pouvoirs.
Ce point de la révélation nous apprend un aspect très singulier de la dynamique cosmique, d’où nous pouvons en déduire des enseignements essentiels.
En effet, nous avons vu, dans le chapitre précédent, que le dragon de feu être fait (formé) de l’agglomération des déchets énergétiques de l’élément feu ; c’est à dire du Feu Volonté, que nous recevons de notre Ego Dieu, et que nous n’avons pas su utiliser.
La bête qui sort de la mer, avec des caractéristiques identiques est, elle aussi, formée par un agglomérat de déchets, mais des déchets de l’élément Eau ; c’est à dire par l’agglomération de tout le potentiel émotif que l’on n’a pas su utiliser dans une activité créatrice.
Mais, dans cette séquence, nous voyons le dragon de feu qui, n’ayant pas pu dévorer le Fils de l’Ame humaine, ni endommager celle-ci, s’aposte sur la plage et attend l’arrivée de la bête, qui sortira de la mer, pour lui conférer tous ses pouvoir.
Le potentiel du feu gaspillé, se soumet au potentiel émotif gaspillé, afin que les désirs puissent établir leur royaume.
Cela arrivera lors du 5e tour de notre 4e jour mais, s’agissant d’une récapitulation du 4e tour, dans lequel nous nous trouvons actuellement, les problèmes décrits par Jean sont ceux qui, à présent, sont devant nous, et donc nous pouvons en déduire les solutions.
Imaginons que la société des bêtes s’impose réellement. Imaginons que le dragon de feu avale le Fils de la Femme, et que, donc, le feu d’en haut tombe directement dans le ventre du dragon.
Imaginons, ensuite, que ce dragon, alimenté à la source des énergies premières engendrées, va se poster sur la plage pour passer ses pouvoir à la bête de la mer.
Comment serait une société née du pouvoir de cette bête d’Eau ?
Dans une telle société le désir serait la seule et unique Loi ; où le plaisir règnerait au-dessus de tout ; où la volonté servirait l’émotion afin de pouvoir l’intensifier.
Très souvent, chez les humains, les choses sont ainsi, parce que toute cette histoire du dragon qui attend la bête de la mer, pour lui octroyer ces pouvoirs, n’est pas un récit mythique, mais une dynamique active dans notre propre psychisme, tout comme la suite de cette histoire.
Ce qui arrive c’est que la bête de la mer est agissante en nous, pendant un certain temps, (peut-être une vie entière) et après, poussée par des conditions cosmiques, elle doit se retirer.
Lorsque les 2 bêtes assemblent leur volonté, apparaît le magicien noir, dans lequel la volonté créatrice est au service des désirs.
Cependant, comprenons-nous bien : tel que nous l’avons déjà indiqué, le pouvoir de la bête est le pouvoir que les humains lui accordent, lorsqu’ils font appel à ses services.
La bête ne s’impose pas à nous, d’elle-même ; c’est nous qui lui ouvrons les portes de notre psychisme, lorsque nous désirons, convoitons, ambitionnons, ce qui, seulement, peut être obtenu avec la force contenue dans la bête.
Lorsqu’une telle convoitises se fait jour en nous, les lucifériens nous envoient l’un d’entre eux pour qu’ils nous servent un morceau de bête bien cuit, chaud, croustillant, bien assaisonné, appétissant.
Le mal n’est actif que lorsqu’il se trouve dans notre intérieur, et si nous lui donnant un rôle à jouer, par la mobilisation de nos pensées, de nos désirs, de nos « mains », pour sa concrétisation.
C’est dans nos plages intérieurs que les bêtes se rencontrent ; c’est là que la cérémonie de la passation de pouvoir a lieu. Bien entendu : de notre Mer Intérieure n’émergent pas seulement des bêtes à 7 têtes et à 10 cornes !
Ceux qui possèdent la vision intérieure peuvent voir sortir, de cette mer, des êtres de lumière, azurée, qui constituent les bonnes et positives impulsions qui sortent de nos sentiments pour s’emplir, se gonfler, de l’air de la plage, et devenir des graines des semences à planter pour les projets de notre mental, qui doit transformer en action sur notre terre humaine, les sentiments.
Dans nos plages intérieur, l’air et l’eau se rencontrent, et les pouvoirs de l’eau sont transmis aux agents de l’air, qui doivent leur donner une structure ferme, solide.
« Et je vis l’une de ses têtes comme blessée à mort ;
mais sa blessure mortelle fut guérie.
Rempli d’admiration, la terre entière suivit la bête. Et ils adorèrent le dragon parce qu’il avait donné l’autorité à la bête et ils adorèrent la bête, en disant : qui est semblable à la bête, et qui peut combattre contre elle ?
Et il lui fut donné une bouche qui proférait des paroles arrogantes et blasphèmes ; et il lui fut donné le pouvoir d’agir pendant 42 mois.
Et elle ouvrit la bouche pour proférer des blasphèmes contre Dieu, pour blasphémer son nom, son tabernacle, et ceux qui habitent dans le ciel.
Il lui fut donné de faire la guerre aux Saints, et de les vaincre. Il lui fut donné autorité sur toute tribu, tout peuple, toute langue, et toute nation. »
Apocalypse 13, 3-7
Nous voyons ici que le dragon guéri la tête blessé de la bête ; la première de ces têtes, précise le chroniqueur, celle qui correspond à YESOD, en décomposant les têtes de façon inversé comme il convient de faire, concernant les forces de l’abîme.
YESOD étant la Séphira chargée de transmettre les forces d’en haut vers le bas et d’en bas vers le haut, cette bête se trouvait dans l’impossibilité d’inoculer sa force aux humains et c’est cette fonction que le dragon rétabli chez la bête, lui rendant ainsi son empire.
Ce fait émerveille la terre entière. Le feu d’en bas n’est guère différent de celui d’en haut : il a les mêmes propriétés, et peut tout guérir, ce qui change c’est son utilisation.
La terre entière est émerveillée de cette guérison de la bête, car lorsque cette première tête (par laquelle la bête transmet ses vertus) se lèvera de nouveau, les vices bien-aimés pourront renaître ; celui qui avait perdu l’appétit le retrouvera ; les Frigides et impotents ressentiront, de nouveau le désir sexuel et tous les désirs d’antan renaîtront avec force et vigueur.
Tout cela mérite des célébrations, et nous voyons ici les humains adorer le dragon et la bête.
Le premier est adoré pour avoir rétabli le second, car la bête de la mer est la grande vedette, celle qui donne du goût à la vie du moment.
Qui pourrait égaler la puissance de la bête ? se demandent les humains, émerveillés.
Rien ne peut égaler le pouvoir de la bête qui nous accordent tant de plaisir tant de jouissances.
Qui est capable de lutter contre la bête ? comment lutter contre tant de bonheur, de satisfaction ? Nous luttons lorsque le monde nous est défavorable, hostile.
Il faut être fou ! pour se dresser contre la bête productrice de temps de choses merveilleuses ; pour sortir de ces somptueuses demeures.
Il a été donné à la bête une bouche pour s’exprimer, dit le chroniqueur.
N’oublions pas que nous sommes en train de récapituler des anciennes étapes, et que les monstres qui apparaissent, avait été réduit au silence par une spiritualité triomphante.
Dans la période que l’on récapitule, et qui correspond à la phase que nous sommes en train de vivre in vivo (en direct), la bête s’était tue et sa première tête, celle qui est essentielle pour ces manifestations, était blessée à mort.
Mais nous avons vu de quelle façon se produisait sa renaissance grâce à l’aide du dragon.
Par conséquent, dans notre dynamique interne, il faut prévoir cette résurgence des bêtes.
Ces mots d’orgueil nous les connaissons, car sa bouche a été notre propre bouche, et c’est avec elle que nous avons exprimé l’orgueil d’être ce que nous sommes : notre nom, nos diplômes, notre appartenance à une ethnie, à un pays, à une langue, l’orgueil d’être distinct des autres, différents, d’être quelque chose séparé du reste ;
ce sont les blasphèmes contre l’Unité Divine !
La bête ne renaîtra pas dans toutes les natures, ni non plus, le dragon viendra lui transférer des pouvoirs. Cela peut arriver, dit Jean, l’âme qui contemple, prophétise dans ce sens, car on lui a indiqué de le faire.
Le pouvoir que la bête reçoit, ne procède pas d’un Dieu extérieur.
On ne comprendrait pas que Dieu qui établit les règles du jeu, dans un univers, décide soudain de faire vivre une bête moribonde, pour la guérir et lui octroyer des pouvoirs !
La bête reçoit ses pouvoirs de chacun d’entre nous ; de nous-même.
De notre nature intérieure, de nos appétits, elle reçoit des pouvoirs d’expression, qui lui permettent de faire la guerre aux Saints et de les vaincre.
Aux Saints intérieur, bien entendu ; c’est-à-dire, à celle de nos tendances qui avait atteint le niveau de Saint, et qui poussaient nos peuples intérieurs vers les hauteurs.
La bête, avec l’empire qu’elle reçoit du dragon, vaincra ce qui est sain dans notre intérieur, et dominera de nouveau l’ensemble des peuples, nations, tribus, langages qui, de différentes façons, s’expriment dans notre intérieur.
La bête renaît en nous, parce que nous l’appelons à la vie.
Que faut-il faire pour que cela se passe autrement ?
Voilà un travail réservé à chaque Artiste, car il n’y a pas de méthode globale, valable pour tous.
Chaque lecteur prendra les mesures nécessaires pour éviter qu’une telle réunion de bêtes et de dragons puisse être célébrée dans ses propres plages (internes).
« Et tous les habitants de la terre l’adorèrent, tous ceux dont le nom n’a pas été écrit dans le livre de la vie de l’agneau qui a été immolé dès la fondation du monde.
Si quelqu’un a des oreilles, qu’il entende.
Si quelqu’un est destiné à la captivité, il ira en captivité ;
et si quelqu’un tue par l’épée, il faut qu’il soit tué par l’épée.
C’est ici là persévérance et la foi des Saints. » Apocalypse 13 8-10
Voici l’un des passages énigmatiques de l’apocalypse.
Ont adoré la bête, tous ceux qui n’avaient pas été inscrits dans le Livre de Vie de l’Agneau Egorgé, est dit, depuis la Fondation du Monde.
Une lecture profane de ce texte pourrait nous faire croire que notre histoire avait été écrites préalablement.
Les prophètes parlent souvent de ce fameux livre où se trouvent inscrites toutes nos actions, avant qu’elle ne soit commise, et David, dans le psaume (139/16) précise :
« Quand je n’étais qu’une masse informe, tes yeux me voyaient. Et sur ton livre étaient tous inscrits, les jours qui m’étaient destinés, avant qu’aucun d’eux n’existe… » le psaume 139 138 de la vulgate développent ce thème.
On parle dans ce point du Livre de la Vie de l’Agneau Egorgé. Il ne s’agit pas du livre de Jéhovah, dans lequel les anges inscrivent l’histoire individuelle de chacun, mais du Livre de l’Histoire de l’Agneau Egorgé, c’est à dire l’histoire (Le CV) de la vie christique que nous avons pu intérioriser dans notre for intérieur et donc nous avons décidé de nous déverser sur les autres, afin de leur ouvrir avec ce sang de nouvelles perspectives.
Chaque fois que nous avons agi ainsi, depuis l’origine du monde, de notre monde (c’est à dire depuis que nous avons commencé à prendre conscience des choses de la vie et à, donc, avoir un monde à nous) ; chaque fois que nous avons déversé le sang de l’agneau , depuis notre propre intérieur, un souvenir indélébile, ineffaçable, est resté de notre action, et ce souvenir agit comme un mécanisme de défense, lorsqu’un penchant nous pousse à adorer la bête, le jour de son retour lorsqu’elle était déjà disparue, mais qu’elle revient pour nous attaquer.
Le fait d’avoir joué le rôle de l’agneau égorgé, nous vaut d’être inscrit dans le livre de son histoire et alors apparaît une circonstance qui fait obstacle et qui nous empêche de commettre l’erreur de nous incliner devant la bête.
En résumé, Jean nous dit ici, que chacun recevra ce que lui-même aura inscrit dans ce livre.
Celui qui mettra des chaînes à cet univers de l’Agneau, c’est à dire celui qui au lieu d’écrire l’Histoire, mettra des obstacles à l’Histoire, pour qu’elle ne puisse pas se déployer, recevra des chaînes ;
il sera enchaîné au monde de la bête, et il adorera la bête.
Celui qui voudra liquider ce nouvel univers ce qui veut naître avec l’épée de la raison froide (c’est à dire celui qui convertira l’Amour-Sagesse de HOCHMAH, en un système raisonnable), celui-ci ne dépassera pas le seuil, il sera un homme mort pour la civilisation qui naîtra du Livre de la Vie de l’Agneau immolé.
Dans cet itinéraire, on se heurtent à l’air, qui est l’épée mythique qui nous permet le discernement, et donc gouverner le monde.
Il y a beaucoup de contes médiévaux (comme la légende du Roi Arthur – note personnelle) où il est question d’un peuple sans roi, qui attend l’arrivée d’un héros capable d’arracher une épée qui se trouve à demi enfoncée, fixée, dans un rocher.
C’est la pensée incrustée dans la terre, et qui doit être séparée d’elle pour pouvoir discerner et estimer toute chose.
Celui qui arrive à arracher l’Epée, peut devenir roi de l’un de ses Peuples Intérieurs.
L’Air-Epée est la porte par où l’homme a accès à la divinité.
L’épée a un double tranchant. D’un côté, elle sert à discerner, à séparer les valeurs des choses, pour ainsi pouvoir les comprendre ; mais, d’un autre côté, elle tue les choses, elle est juge, elle les condamne, les fige, les réduit à des formules qui devraient être de simples premier pas vers une plus haute compréhension.
La raison peut donc être le fil conducteur qui conduit au feu divin, ou bien la force qui juge et qui tue les nouveau-nés que, la raison elle-même met au monde ; tout comme Chronos-Saturne, le représentant de BINAH (la Séphira institutrice de la Raison) qui dévorait ses créatures à leur naissance.
L’Univers de la Raison est petit, réduit et dépourvu de cet élément nommé Liberté, qui est l’une des huiles qui coule de HOCHMAH.
La liberté est l’ennemie de la raison.
Le monde de la raison ne subsiste que grâce à la protection des interdits, établis par des académies de savants, qui appuient, avec des tonnes de respectabilité, leur conception.
Et c’est ainsi qu’il protège, pendant un certain temps, leurs élucubrations contre cet ennemi nommé erreur, qui n’est autre qu’une vérité qui n’a pas encore obtenu sa carte d’identité.
Mais, il arrive un moment où toute cette défense devient inutile, et la vérité fait éruption avec force, pour réduire en poussière tout ce que la raison avait jugé digne de régner pour l’éternité !
“Puis je vis monter de la terre une autre bête, qui avait 2 cornes semblables à celle de l’agneau, et qui parlait comme un dragon.
Elle exerçait toute l’autorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, dont la blessure mortelle avait été guérie.
« Elle opérait de grands prodiges, jusqu’à faire descendre du feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes.
Et elle séduisait les habitants de la terre par les prodiges qu’il lui avait été donné d’opérer en présence de la bête, disant aux habitants de la terre de faire une image de la bête qui avait été blessé par l’épée et qui vivait.”
Apocalypse 13 11-14
Les bêtes s’entendent merveilleusement entre elles. Le dragon passa ses pouvoirs à la bête sortie de la mer, à qui il guérit une blessure mortelle, produite par une Epée, nous précise Jean.
C’est à dire que ce qui avait blessé mortellement la bête, qui représente la Force Emotive Gaspillé, était la Raison.
La raison tue les sentiments, elle les pétrifie lorsqu’elle les explicite.
Dans ce point une nouvelle bête fait son apparition, cette fois de la terre.
Il s’agit d’une bête beaucoup plus présentable, me semble-t-il, avec une seule tête, 2 cornes comme d’un agneau, mais en parlant comme un dragon.
C’est à dire, par son look (son apparence) il s’agirait de cet agneau qui est le signe du Bélier, par lequel le feu divin nous est transmis, mais sa façon de s’exprimer et celle qui caractérise le Feu-Gaspillé qui pousse notre Volonté Créatrice vers des objectifs exclusivement matériels.
La bête de terre se place sous l’autorité au service de la bête de mer.
En réalité, c’est celle de mer, porteuse de la force des émotions, qui vivifie celle de la terre, qui représente notre corps matériel ; corps qui serait un minéral sans vie propre, sans les forces internes qui l’habitent.
La terre du récit est la Terre-Ethérique, mais étant donné qu’elle fait référence à la 4e ronde que nous sommes en train d’expérimenter actuellement in vivo, nous pouvons tirer, des agissements des bêtes, de grands enseignements pratiques utiles à notre situation présente.
La bête de la terre est celle qui établit impose l’empire de l’autre bête, ça crève les yeux !
C’est grâce à la bienveillance de notre corps, que les émotions dégradées peuvent s’exprimer, non seulement de façon sporadique, mais en creusant des sentiers permanents, en édictant des lois qui favorisent leurs manifestations ; c’est à dire en établissant un véritable empire, afin que tous les habitants de notre terre humaine adorent la bête de la mer, qui est notre force émotionnelle corrompue.
La bête de la terre réalise des prodiges extraordinaires ahurissant !
Comme celui de faire descendre le feu du ciel sur la terre.
Mais dans ce monde avec ses 4 Fers en l’air, qu’est le monde inversé de l’abîme, le ciel se trouve en bas, au fin fond, et c’est le feu du dragon qui tombe.
Le feu volonté est celui qui rend possible l’existence des faits et des choses.
Sans volonté, la bête de la mer se dégonflerait comme une baudruche.
La bête fait en sorte que cette Volonté (Volonté-Gaspillée ; Volonté des Abîmes) tombe pour émerveiller tous les habitants de cette terre, qui espérait, peut-être, certains, que l’empire de la bête serait passager, soumis à la Répulsion, force agissante dans les régions inférieures du monde du désir (ou astral).
Mais voilà cette répulsion ne peut pas porter atteinte à l’élément feu déchets, lequel par sa nature, est incorruptible.
Ce feu volonté gaspillé devra obligatoirement, inéluctablement, être assumée par les individus qu’ils ont gaspillé ou/et parce qui sans y être impliqués, souhaite aider bénévolement et volontairement, à sa liquidation.
Le feu d’en bas, arme notre volonté pour la réalisation d’expériences matérielles fortes, dramatiques, susceptible de nous faire prendre conscience du fait que nous n’avons pas tiré la leçon, la quintessence, des expériences auxquelles le Feu-Volonté d’en haut nous avait préalablement induit.
Ces expériences fortes réalisées moyennant le Volonté-Feu du dragon, égarent les humains, parce que la réalité matérielle apparaît devant eux avec une telle force, qui la juge comme une vérité complète, et non pas comme le symbole qui occulte quelque chose qu’ils doivent découvrir.
Et C’est ainsi que, celui qui voit apparaître un voleur qui le dépouille de tous ses biens, son premier mouvement et de courir au commissariat le plus proche, pour le dénoncer ; en déversant toute sa fureur intérieure sur le voleur, au lieu de se dire :
” la façon dont je conduis ma vie ruinera ma richesse intérieure, et ma personnalité psychique s’appauvrira. Voilà ce que ce voleur est venu me faire comprendre et, par conséquent, je vais changer ma façon de vivre, je vais m’améliorer, m’enrichir intérieurement, spirituellement.”
(Et d’ailleurs c’est ainsi qu’il s’enrichira matériellement au centuple !)
Oui le dragon nous a instruit toujours par la manière, forte expérimentale ; la bête de la mer nous fait aimer tout ce qui est petit ; le petit chien, le petit tableau, le petit broc miniature si mignon ! tout ce qui est fractionnaire, multiple ; la bête de la terre institue tout cela, le rend vénérable et digne d’adoration, pour le transformer en Loi, en système.
« Et il lui fut donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parle, et qu’elle fasse que tous ceux qui n’adoraient pas l’image de la bête soit tué.
Et elle fit que tous, petit et grand, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur la main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.
C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête.
Car c’est un nombre d’homme, et ce nombre est de 666 ».
Apocalypse 13 15-18
Dans cette société engendrée par la bête tous se reconnaissent par leur marque, qui est visible chez ceux qui occupent des postes officiels importants, sur le front de leur casquettes ; tandis que d’autres portent leurs marques sur la main droite qui est celle de l’action. L’autre main représente le passé, qui sert d’infrastructure à l’Action qui va vers l’avenir.
Nous tous, si en fin de journée nous nous posions la question : pour qui, pourquoi, ai-je travaillé aujourd’hui ? Nous serions bien obligés d’admettre que la presque totalité de notre travail à servir à soutenir la machine de l’état avec toutes ces institutions, ainsi que pour maintenir ce qui protège cette machine (char avion bombe) contre les ennemis de la bête ;
et aussi (mais oui, aussi et principalement) pour que la micro-bête, que nous portons tous dans notre intérieur, puisse fumer, boire et chanter, pour qu’elle puisse brûler de l’essence et, disposer de cassettes vidéo – DVD ce texte a été écrit en 2000- (d’aventure etc. , ou même de porno…) et tout le reste !
Ce faisant nous serons des citoyens respectables, nous contribuerons au maintien de la Communauté Nationale et nous pourrons prouver tout cela par nos factures EDF, par notre permis de conduire, et surtout par la carte qui prouve notre identité et qui est la véritable marque de la bête que nous devrons toujours (jour et nuit) être en mesure de montrer.
Face à cette situation, que devons-nous faire ? Refuser l’accomplissement de ses devoirs dit civique ? Toutes les sociétés initiatiques demandent à leurs adhérents d’obéir aux obligations imposées par les gouvernements des pays où ils habitent, parce que les gouvernements sont l’émanation des natures intérieures que tous les habitants du pays inclus celle des Initiés.
Par conséquent, nous ne pouvons pas refuser la nourriture à cette créature (à cet état, à cette administration) que nous-mêmes avons engendré et mis au monde.
Nous dégager de la Société de la Bête, sera possible si nous commençons par le sommet, par notre KETHER intérieur, qui peut faire accroître (au travers de ces Anges-Chérubins, si tel est notre désir) notre Volonté de Paix et de Bonté en nous, et donc dans notre proche entourage, dans la Société en général ; ce qui finirait par transformer la Bête en Agneau.
Quant à l’énigme que Jean nous propose, elle ressemble beaucoup à celle que la chimère proposait aux malheureux citoyens de Thèbes.
C‘est une sorte d’espièglerie du prophète, afin que tous les non-initiés, qui approchent ce texte, puissent se livrer au jeu des conjectures, pour trouver des dragons et des bêtes, parmi les dirigeants de la société humaine.
Les commentateurs profanes de l’apocalypse affirment (unanimes) que Néron-César est porteur du nombre 666.
Mais il faut être sérieux. La bête est une force intérieure présente chez tous les humains ; et chacun l’exprime en une plus grand ou plus petite proportion et intensité.
L’énigme de Jean n’en est pas une, car lui-même apporte la réponse : il s’agit de l’homme ; et c’est la même réponse à l’énigme de la Chimère.
Le 6-VAV-Scorpion est le Nombre de l’Homme par excellence ; car c’est dans ce 6 zodiacal qu’il prend conscience de lui-même, en tant qu’entité séparée de l’univers, et qu’il doit décider de façon libre, et volontairement, d’adhérer à l’œuvre universelle, ou de s’éloigner d’elle.
Dans l’ordre séphirotique, le 6 correspond à Tiphereth-Soleil, Séphira qui se trouve à la pointe du triangle inversé, par où la lumière divine de Kheter descend vers l’abîme, pour illuminer le monde des sentiments et l’élever.
Tiphereth-Soleil distribue la volonté, et engrange la Conscience ; et ses 2 fonctions sont l’autre face de cette force nommé VAV, qui commence par être un simple lien entre l’ombre et la lumière, pour finalement devenir le maître d’œuvre de cette édification nommé Homme ;
C’est ainsi que, dans cette lettre est impliqué (compliquée) la Loi selon laquelle celui qui transmet quelque chose est le responsable de l’utilisation (mauvaise ou bonne) que l’on fera de la chose qu’il aura transmise.
Le VAV est la 3e Lettre de Jéhovah, celle qui propulse la divinité vers l’extérieur et, par conséquent, elle est la lettre force responsable de tout ce que nous extériorisons, car nous fonctionnons de la même façon que la divinité.
Il est donc clair et évident que le VAV ou le 6, est notre propre lettre et notre propre nombre, dans les 3 mondes où notre vie se développe (matériel, sensible et mental).
Les “Crop Circle” continuent de fleurir ce mois de juin 2020 avec l’étoile à 7 branches symbole de Jésus Christ de retour dans l’apocalypse de Saint Jean.
le premier crop circle que j’ai découvert il y a 15 ans